La poésie d’André Dhôtel dans la nouvelle « INTERMÈDE » (NRF 1 mai 1942) -(01)

(Jean Barnaud vient de cambrioler une maison. Il en repart)

« Avant de s’éloigner,
il prit le temps de respirer l’air matinal.
Des herbes rares retenaient quelque rosée.
À deux cents pas entre les troncs,

il apercevait la route
et un fragment d’une vaste lande
où les troupeaux de moutons formaient des îles.
Jean Barnaud se félicita de sentir en lui

et dans les choses
une solitude vigoureuse »

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