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Bien évidemment
tout cela n’a aucun sens
s’il ne s’agissait
que de l’engraisser
pour
le manger
*
C’est un peu ce qui se dit ici
« Il n’y a pas de compétitivité économique sans une école efficace. Dans les systèmes productifs du XXe siècle, la productivité se jouait dans les bureaux des études et des méthodes. Dans les économies de la connaissance qui se mettent en place il ne suffit plus de disposer d’une élite brillante. La compétitivité repose sur une large diffusion des compétences au sein de l’ensemble de la population. «
extrait de ce colloque
Si l’enfant est destiné à devenir le soldat, chair à canon de la guerre économique que se livrent les pays dans le cadre de la mondialisation … de l’économie*, il est inutile de lui apprendre à pécher … mais urgent de le nourrir pour lui donner … la matière première utile à cette guerre.
La suite du paragraphe éclaire les objectifs assignés à l’enseignement :
« … Aujourd’hui, la compétitivité des sociétés se forge à l’école. »
Ce proverbe à propos de l’homme qui a faim auquel il vaut mieux apprendre l’art de pécher l’école devrait se l’appliquer.