En les steppes animées des Cosaques des frontières
Anna Jouy évoque le monde du tableau
et particulièrement celui de la toile de Marc Chagal
« Au-dessus de la ville »
Parfois, on peut vouloir clouer là autre chose, un miroir. Comme s’il pouvait lui aussi rapprocher un autre espace. Le miroir, qui met en scène l’immense arrière-fond de son existence, si loin d’ailleurs qu’il crée l’éternité et donne une violence au secret de la vie, une nostalgie emplie de douleurs et d’effrois aussi. Nous tenant en face, notre irréalité dévore notre réel et on se sent floué, pris d’un vertige- nausée… Et si tout recommençait? Et s’il n’y avait que nous vraiment et rien d’autre, nous et notre apparat décorum, nous et notre apparence ? Ainsi donc c’est pareil et que l’on traverse cet espace de glace, qu’on le franchisse, que l’on tombe, vole ou rampe, la vie ne cessera pas de ressembler à celle qu’on laisse derrière soi.
Je réponds avec retard
mais il est toujours temps j’espère
de remercier.
Il y a des textes comme celui-là pour lesquels la lecture à voix haute s’impose
notamment parce que la ponctuation indique des pistes de nuances qu’on ne peut exprimer qu’en souffle.
Ma réponse ne semble pas être passée
Merci Anna pour ce retour
à propos d’un texte
qui
s’il n’avait pas été réussi
ne m’aurait pas parlé autant (sourire)²
si justement lu… c’est comme si je l’avais réussi , ce texte.
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Je réponds avec retard
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Il y a des textes comme celui-là pour lesquels la lecture à voix haute s’impose
notamment parce que la ponctuation indique des pistes de nuances qu’on ne peut exprimer qu’en souffle.
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Merci Anna pour ce retour
à propos d’un texte
qui
s’il n’avait pas été réussi
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