Première phrase du troisième chapitre – LOCAL HEROS – Vincent Benoit – piste 3 – Frères armés

[L’histoire d’un groupe qui a commencé au propre comme au figuré dans la Dèche, (origine de son nom) et plus particulièrement de son guitariste chanteur vedette Mark Knopfler,« L’homme tranquille du rock ’n’ roll » .
Pour la « piste 3 » tout est dans son titre. Deux frères et qui plus est à la guitare tous les deux, c’est un de trop parfois.]


TU TE PAIES MA TÊTE - letcr1-exp

Extrait de « Local Heros« 

de Vincent Benoit

Parcours de lecture

TU TE PAIES MA TÊTE - sr

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L’extrait en clair
TU TE PAIES MA TÊTE - txt0r


Bernadette

https://www.youtube.com/watch?v=GvzcqKaj7wM


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Tu te paies ma tête. On te dit que les gens se forgent une idée de qui tu es à travers les paroles de tes chansons et soudain, d’un revers de la main, dans ce geste presque colérique, tu rétorques qu’ils se font des idées.


LE GRAND MEAULNES – ALAIN FOURNIER – 34

[ Le lendemain, après la bagarre ]

IL AVAIT LA TETE ET TOUT UN COTE DE LA FIGURE  -  letc1-s

… qui nous avait volés la nuit précédente. »

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(sans les liens d’un mot à l’autre)

IL AVAIT LA TETE ET TOUT UN COTE DE LA FIGURE  - letcr1-exp

(à cliquer)

Extrait du roman « Le grand Meaulnes » de Alain Fournier

Parcours de lecture

IL AVAIT LA TETE ET TOUT UN COTE DE LA FIGURE  - sr
(à cliquer)

En clair

IL AVAIT LA TETE ET TOUT UN COTE DE LA FIGURE  - txt0r

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Un extrait plus long qui contient cette citation

IL AVAIT LA TETE ET TOUT UN COTE DE LA FIGURE  - txt1r

 


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Le premier que j’aperçus était celui-là même auquel je ne cessais de penser, mais le dernier que j’eusse pu m’attendre à voir en ce lieu. Il était à la place habituelle de Meaulnes, le premier de tous, un pied sur la marche de pierre, une épaule et le coin du sac qu’il avait sur le dos, accotés au chambranle de la porte. Son visage fin, très pâle, un peu piqué de rousseur, était penché et tourné vers nous avec une sorte de curiosité méprisante et amusée. Il avait la tête et tout un côté de la figure bandée de linge blanc. Je reconnaissais le chef de bande, le jeune bohémien qui nous avait volés la nuit précédente.

LAQUES – GABRIEL FRANCK – 2

Laques - couvertureChez Publie.net
Laques
Gabriel Franck
« …il s’agit d’un récit écrit dans son incomplétude même, la moitié des pages du livre étant volontairement manquantes, plongées dans un silence qui accompagne et rythme la lecture. »

(A lire de préférence sur tablette … pour une lecture aléatoire)

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CETTE TETE ETAIT - letcr1

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(Une lecture plus ralentie)

CETTE TETE ETAIT - let1

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Extrait du roman « fantôme » « Laques »

de Gabriel Franck

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Parcours de lecture

CETTE TETE ETAIT - s

L’extrait

CETTE TETE ETAIT - txt0

Un extrait plus long
JE CROYAIS TOUJOURS - text1

Présentation sur Publie.net

En librairie de Publie.net

Chez Gabriel Franck

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Rares étaient les atteintes aussi réussies à la convenance, cette tête était comme un appel à entrer dans la boutique pour accéder à cette vision, la toucher des doigts,

L’ÉVIDENCE ABSURDE – RENÉ DAUMAL – 4

« Ses mains ont été tranchées pour qu’il ne puisse y cacher son visage…
APRES S ETRE JETE - letc1

… il parvient à ce suprême renoncement : ne pas se tuer. « 

Une lecture plus lente
APRES S ETRE JETE - l - n&b

Extrait du recueil d’essais « L’Evidence absurde 1926-1934 – Essais et notes 1 »
de René Daumal

dans « La révolte et l’ironie »

parcours de lecture
APRES S ETRE JETE - s

En clair (sur babelio)

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APRES S ETRE JETE - txt0

L’extrait complet
APRES S ETRE JETE - txt1

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les TAGS
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Ses mains ont été tranchées pour qu’il ne puisse y cacher son visage.
Après s’être jeté la tête contre les murs, puis avoir éclaté du rire inévitable de la folie, il parvient à ce suprême renoncement : ne pas se tuer.

RENTREZ SANS MOI – CHRISTINE ZOTTELE – 5

Rentrez sans moi - couverture« À la mémoire de Lise Bonnafous* et de Nathalie Filippi* et à tou(te)s les immolé(e)s du silence… » Christine Zottele
L’oeuvre est disponible aux éditions Qazak (de Jan Doets)  ici

(* Liens ajoutés ici)

Extrait de
Brouillons et notes éparses
3 – Discours

 

ELLE A TOUJOURS - letcr1


         

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Une lecture plus rapide
(cliquer)

ELLE A TOUJOURS - letc1

                          

Extrait de « Rentrez sans moi » de Christine Zottele 

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Itinéraire de lecture

ELLE A TOUJOURS - s

En clair

ELLE A TOUJOURS - txt0

 Extrait plus long

ELLE A TOUJOURS - txt1


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Disons que c’est une lettre (communication différée donc) qui voudrait nommer le vivant de la défunte. La défunte a vécu, est vivante au moment où elle vous écrit, et même si elle est loin d’être Chateaubriand et plutôt près de rien – pour paraphraser Hugo, mais vous aurez sans aucun doute reconnu la citation – elle a toujours vécu une plume dans la tête. Jusqu’au bout.

COLLINE – JEAN GIONO – 08

                          « J’ai crié : Janet. Oh Janet. Rien. Il ne répondait pas. Sur le coup je ne me suis guère inquiété …

JE LE CONNAIS IL SE COUCHE DANS L HERBE ET TANT QUE L EAU NE LUI CHATOUILLE PAS LA TETE IL NE SE REVEILLE PAS-let

                                                                              … C’est sa manière à lui. Je lui ai dit cent fois : Un beau jour vous vous noierez. Ça lui fait autant. »

Extrait du roman « Colline»
de Jean Giono

parcours de lecture

JE LE CONNAIS IL SE COUCHE DANS L HERBE ET TANT QUE L EAU NE LUI CHATOUILLE PAS LA TETE IL NE SE REVEILLE PAS-s

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En clair (sur babelio)

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JE LE CONNAIS IL SE COUCHE DANS L HERBE ET TANT QUE L EAU NE LUI CHATOUILLE PAS LA TETE IL NE SE REVEILLE PAS-txt

Un extrait plus complet

JE LE CONNAIS IL SE COUCHE DANS L HERBE ET TANT QUE L EAU NE LUI CHATOUILLE PAS LA TETE IL NE SE REVEILLE PAS-txt2

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— Alors, qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas ?
Gondran pousse son verre et tousse. Un temps. Il tousse encore. Il tire son verre, s’accoude et, enfin :
« C’est le beau-père. Ça lui a pris l’autre nuit en arrosant le pré. Je l’avais mis au bout pour m’avertir quand l’eau arriverait ; moi, je surveillais la martelière. Je sais qu’il est venu deux ou trois fois à la maison pour boire, je l’ai vu passer sous la lune, puis, d’un long moment il n’a plus bougé.
« J’ai crié : Janet. Oh Janet. Rien. Il ne répondait pas. Sur le coup je ne me suis guère inquiété ; je le connais : il se couche dans l’herbe et tant que l’eau ne lui chatouille pas la tête il ne se réveille pas. C’est sa manière à lui. Je lui ai dit cent fois : Un beau jour vous vous noierez. Ça lui fait autant…
« Donc, il ne répond pas. Je me pensais : “Quand même : c’est étonnant que l’eau ne soit pas encore là-bas.” Seulement avec ces putains de trous de taupes, on ne sait jamais. Et je débouche le gros canal à coups de bêche.
« L’eau coulait à plein. L’herbe chantait, comme du vent. Au bout d’un moment, je crie encore. Rien. Ça, c’était plutôt drôlet. Je descends en faisant le tour. Je n’avais pas de fanal. À vous dire vrai, j’avais peur : Ça, si tu le trouvais mort. À son âge.
« Il était tout de son long étendu et raide. L’eau arrivait à un doigt de sa bouche. Pour le sortir de là, ça n’est pas allé tout seul. Je me suis enfoncé dans la terre mouillée jusqu’aux genoux.
« Nous l’avons couché. Depuis, il mange, il boit, il chique, il parle, il remue les doigts et la moitié des bras ; le reste, c’est de la souche morte.
« Allez un peu le voir.
— Je suis venu pour ça. »
Il déguste son verre à petits coups, lisse la corne de son sourcil, puis il entre dans la cuisine où s’affaire, aussitôt, la voix blanche de Marguerite.

Les cerfs-volants de Kaboul LES CERFS-VOLANTS DE KABOUL – KHALED HOSSEINI – 1

« Le soleil du début d’après-midi faisait miroiter des reflets dans l’eau où voguaient des douzaines de bateaux miniatures poussés par un petit vent vif .

LEVANT LA TETE J AI APERCU DEUX CERFS VOLANTS ROUGES DOTES D UNE LONGUE QUEUE BLEUE QUI VOLAIENT HAUT DANS LE CIEL-let                                                                             … Bien au-dessus des arbres et des moulins à vent, à l’extrémité ouest du parc, ils dansaient et flottaient côte à côte, semblables à deux yeux rivés sur San Francisco, la ville où je me sens maintenant chez moi. Soudain, la voix d’Hassan a résonné en moi : Pour vous, un millier de fois, me chuchotait-elle. Hassan, l’enfant aux cerfs-volants affligé d’un bec-de-lièvre.»

Extrait du roman « Les cerfs-volants de Kaboul »
de Khaled Hosseini

Parcours de lecture
LEVANT LA TETE J AI APERCU DEUX CERFS VOLANTS ROUGES DOTES D UNE LONGUE QUEUE BLEUE QUI VOLAIENT HAUT DANS LE CIEL-s

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LEVANT LA TETE J AI APERCU DEUX CERFS VOLANTS ROUGES DOTES D UNE LONGUE QUEUE BLEUE QUI VOLAIENT HAUT DANS LE CIEL-txt

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Le soleil du début d’après-midi faisait miroiter des reflets dans l’eau où voguaient des douzaines de bateaux miniatures poussés par un petit vent vif. Levant la tête, j’ai aperçu deux cerfs-volants rouges dotés d’une longue queue bleue qui volaient haut dans le ciel. Bien au-dessus des arbres et des moulins à vent, à l’extrémité ouest du parc, ils dansaient et flottaient côte à côte, semblables à deux yeux rivés sur San Francisco, la ville où je me sens maintenant chez moi. Soudain, la voix d’Hassan a résonné en moi : Pour vous, un millier de fois, me chuchotait-elle. Hassan, l’enfant aux cerfs-volants affligé d’un bec-de-lièvre.

journalier 23 04 15 / Une vie d’un millimètre – CHRISTINE JEANNEY

 « pourtant, on continue tu vois, sans craindre le ridicule, car le ridicule ne tue pas. …  CE QUI TUE C EST LA PAUVRETE LA PAUVRETE DES CORPS LA PAUVRETE DES TETES LA PAUVRETE DES DEUILS CONSTATS -let

                                                                               …La richesse vorace. »

Sur son espace d’écriture (mais pas seulement)
dans sa rubrique [Journal et Journalier]
Extrait du texte « journalier 23 04 15 / Une vie d’un millimètre »
de Christine Jeanney

Parcours de lecture

CE QUI TUE C EST LA PAUVRETE LA PAUVRETE DES CORPS LA PAUVRETE DES TETES LA PAUVRETE DES DEUILS CONSTATS -s

En clair

CE QUI TUE C EST LA PAUVRETE LA PAUVRETE DES CORPS LA PAUVRETE DES TETES LA PAUVRETE DES DEUILS CONSTATS -txt


Christine Jeanney (chez publie.net)

son espace d’écriture sur la toile : Tentatives


Le voisin tond sa pelouse. Un chien manifeste sa rage. Une vie d’un millimètre se pose sur mon clavier, elle a deux ailes. Il y a des places à occuper. Des frontières à guetter, surtout celles que nos propres limites nous imposent sans dialoguer. Il y a des folies à sortir du sac, des possibles à attraper du bout des ongles. Des savonnettes, on glisse dessus, pourtant, on continue tu vois, sans craindre le ridicule, car le ridicule ne tue pas.
Ce qui tue c’est la pauvreté. La pauvreté des corps. La pauvreté des têtes. La pauvreté des deuils-constats. La richesse vorace. Pauvreté immobile. La pauvreté des mots. Quand plus personne ne les entend, personne pour les comprendre, on retrouve un journal dans une langue inconnue, on ne sait pas la lire, et les morts restent non-identifiés.

L’ULTIME ALLIANCE – PIERRE BILLON – 09

  « Il s’était prêté à ce jeu quelques jours plus tôt devant le miroir de sa chambre, avec un regard dénué de bienveillance …

POURQUOI SE TROUVAIT IL AUJOURD HUI UNE TETE PLUS SYMPATHIQUE

Extrait du roman « L’Ultime Alliance »
de Pierre Billon

Parcours de lecture

POURQUOI SE TROUVAIT IL AUJOURD HUI UNE TETE PLUS SYMPATHIQUE -s

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Il s’était prêté à ce jeu quelques jours plus tôt devant le miroir de sa chambre, avec un regard dénué de bienveillance.

 Pourquoi se trouvait-il aujourd’hui une tête plus sympathique ?