La véritable scission dans l’Internationale -« obsolescence programmée » Internationale Situationniste – 2

[Peut-on se moquer
à nouveau
de l’I.S. ?
Comme ce fut le cas par le passé]


AU DÉBUT DE L ANNÉE 1968 UN CRITIQUE - letcr1-exp

Sans image

Extrait

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Extrait plus complet

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Extrait  de
La véritable scission dans l’internationale. 

circulaire publique de l’internationale situationniste.
de
Guy Debord

Parcours de lecture

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L’extrait

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Extrait plus complet

AU DÉBUT DE L ANNÉE 1968 UN CRITIQUE - txt1

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[«Au début de l’année 1968, un critique traitant de la théorie situationniste, évoquait, en se moquant, une “petite lueur qui se promène vaguement de Copenhague à New York”. Hélas, la petite lueur est devenue, la même année, un incendie, qui a surgi dans toutes les citadelles du vieux monde (…) Les situationnistes ont dégagé la théorie du mouvement souterrain qui travaille l’époque moderne. Alors que les pseudo-héritiers du marxisme oubliaient, dans un monde bouffi de positivité, la part du négatif, et du même coup mettaient la dialectique chez l’antiquaire, les situationnistes annonçaient la résurgence de ce même négatif et discernaient la réalité de cette même dialectique, dont ils retrouvaient le langage, “le style insurrectionnel” (Debord).» — François Bott, «Les situationnistes et l’économie cannibale» (Les Temps modernes, nos 299-300, juin 1971).]

LE GRAND MEAULNES – ALAIN FOURNIER – 32


MEAULNES MARCHAIT EN AVANT - letc1



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(Pour une lecture plus lente encore
à cliquer)

MEAULNES MARCHAIT EN AVANT - let1

Extrait du roman « Le grand Meaulnes » de Alain Fournier

Parcours de lecture

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En clair

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Un extrait plus long qui contient cette citation

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Les TAGS donnent des mots de la grille.

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Nous partîmes sur la neige, dans un silence absolu.
Meaulnes marchait en avant, projetant la lueur en éventail de sa lanterne grillagée… À peine sortions-nous par le grand portail que, derrière la bascule municipale, qui s’adossait au mur de notre préau, partirent d’un seul coup, comme perdreaux surpris, deux individus encapuchonnés. Soit moquerie, soit plaisir causé par l’étrange jeu qu’ils jouaient là, soit excitation nerveuse et peur d’être rejoints, ils dirent en courant deux ou trois paroles coupées de rires.
Meaulnes laissa tomber sa lanterne dans la neige, en me criant :
« Suis-moi, François !… »