« C’était comme un flux et un reflux de conscience.
Je sentis instinctivement : …<<
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Extrait du roman « Le dominicain blanc »
de Gustav Meyrink
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Parcours de lecture
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En clair (sur Babelio)
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N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance
A la manière décousue dont il jetait ses phrases, avec de courtes interruptions involontaires après lesquelles il reprenait chaque fois avec effort, je m’aperçus que sa mémoire semblait s’éteindre par intervalles pour se ranimer ensuite, suivant le rythme de sa respiration.
C’était comme un flux et un reflux de conscience.
Je sentis instinctivement : << Il ne s’est jamais remis de cette aventure dans le cercueil métallique ; c’est encore aujourd’hui un homme enterré vivant. >>




