Pour tenter de rattraper l’erreur de la page précédente
(image disparue pendant un temps)
je donne exceptionnellement une seconde citation de la même oeuvre
Et mille excuses à JAN DOETS
Jan Doets de son territoire où il abrite les cosaques des frontières, évoque les terres qu’il connait bien pour y avoir vécu, et leurs habitants dont il a reçu une part de la mémoire en partage.
L’oeuvre est disponible aux éditions QazaQ ici
*beloumbeloum délicieux pluriel (peut-on être moins numérique ?) de beloum
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[pour un temps, oiseau]
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(Si tu es novice ici
clique sur l’image pour l’agrandir
les liens entre les mots sont visibles)
Extrait du recueil
«beloumbeloum – contes de l’équateur »
de Jan Doets
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Itinéraire de lecture
( à cliquer)
En clair
Un extrait plus long
Merci de signaler une erreur
Nous patrouillons donc des kilomètres en hélicoptère à travers la forêt, tout en gardant contact avec les patrouilles de l’armée poursuivant les saboteurs à terre.
Nous avons démonté les petites portes vitrées et laissées sur terre. Me penchant dehors, pendu dans les ceinturons, je regarde verticalement au-dessous nous, walkie-talkie à la main, pour transmettre des informations. Sensation étrange d’être accroché dans le ciel comme un rapace.










Jan Doets de son territoire où il abrite les cosaques des frontières, évoque les terres qu’il connait bien pour y avoir vécu, et leurs habitants dont il a reçu une part de la mémoire en partage.







