La panthère des neiges – Sylvain Tesson

A la poursuite pacifique de la panthère des neiges, en compagnon de Vincent Munier, lors des nombreux moments de guet immobile dans un froid (-20°C) qui ralentit suffisamment la pensée pour y geler ce qui la parasite, Sylvain Tesson se donne le temps de questionner l’humain et en particulier celui qu’il est lui-même.


 

« Hier, l’homme apparut, champignon à foyer multiple. Son cortex lui donna une disposition inédite :

Porter au plus haut - ima-let1

À la douleur, s’ajoutait la lucidité. L’horreur parfaite. »

 

 


(La photographie est de Vincent Munier)

*

 

8 commentaires sur “La panthère des neiges – Sylvain Tesson

  1. Après que les voies
    se trouvent recouverte d’un grand manteau blanc
    afin de permettre à nouveau le passage des gens
    est lâché
    le monstre à la grande langue
    – que l’on a volontairement tenu assoiffée –
    alors pour le bonheur de tous ce géant
    lape en terre
    déneige.

    Aimé par 2 personnes

  2. Je suis allé lire la critique que tu fais de ce livre.

    Je suis en gros d’accord avec toi.
    Oui, les lecteurs attendent du Tesson et il en donne
    Oui, le livre est un peu décousu … il est de notre temps … digression sans transitions

    Mais l’homme reste Généreux

    Il est venu tout près de chez moi, dans un tout petit village (Mollans sur Ouvèze)
    (il aurait eu 10 fois plus de présents s’arrêtant à Vaison)
    et (tout était complet une semaine avant, je n’ai pu entrer)
    un copain qui a resquillé un peu
    grand baroudeur lui aussi
    (entre les temps de tailles de vignes ou d’oliviers)
    était totalement conquis.

    Merci de ton passage.
    et
    à tout à coup …

    Aimé par 1 personne

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