HOPPER, ou « La seconde échappée » – CHRISTINE JEANNEY -« Nighthawks »

Christine Jeanney publie, en version numérique, 21 textes centrés sur 21 tableaux de Hopper.
[La reproduction de ces toiles (non libres de droits) n’étant pas possible avant 2037,  des liens internes au fichier (epub ou pdf) pointent vers les sites/Musées où ces toiles sont exposées.]

Ici il est question de cette temporalité particulière aux oeuvres de Edward Hopper dont Christine Jeanney donne à percevoir l’épaisseur et la texture à travers ces 21 écrits.

L’oeuvre est disponible aux éditions QazaQ (de Jan Doets)  ici

 

Slow²Reading

UN TEMPS FIGÉ SANS PORTE - letcr1-exp2

—-
(sans le tableau de Hopper
cliquer)

 

Extrait de
« Hopper ou « la seconde échappée »
de Christine Jeanney

« Nighthawks »

Parcours de lecture

UN TEMPS FIGÉ SANS PORTE - sr

En clair

UN TEMPS FIGÉ SANS PORTE - txt0r

 

Proposition de lecture



* SlowReading : (lecture lente) lecture aux lèvres, qui ralentit une pensée toujours pressée et galopante
** Slow²Reading : (lecture très lente) lecture lettre à lettre conformément à la « prière des mots »


Christine Jeanney  aux édition  Qazaq
chez publie.net

 

son espace d’écriture sur la toile : Tentatives


Il faudrait être capable de remonter le fil jusqu’à se retrouver la première fois devant Nighthawks, revivre cette seconde, la première, on regarde Nighthawks et ça n’est jamais arrivé avant.
Un temps figé sans porte, sortir n’est pas envisageable, la rue déserte vue seulement à travers la vitre, aquarium. La solitude urbaine, les bouches sourdes, les monologues intérieurs, se taire, et même parler équivaut à se taire quand les naufragés ne partagent que la nuit.
Le voir, sans les bouchons et les encombrements, le brouhaha des boîtes de chocolats et des posters, les commentaires et les versions multiples de Nighthawks, celle ou R2-D2 gît devant la vitrine, celle des Simpson, de Super Mario ou Batman, celle reconstituée de legos entièrement et l’autre détournée, un M de McDonalds remplace le PHILLIES, la fin d’un épisode de Dead like me, les occasions constantes, retrouvailles perpétuelles avec ce bar nocturne.

Louise Imagine – #‎lightmemories‬

Sous le signet  #‎lightmemories Louise Imagine a saisi, dans son piège à lumière, des instants d’enfance d’où celui-ci est extrait
(voir en fin de page l’ouvrage publié sur ce même thème)


ELLE APPUYAIT SES RÊVES À LA VITRE - letcr1-exp

 (sans image)

ELLE APPUYAIT SES RÊVES À LA VITRE - letcr1

[#‎lightmemories‬]
Louise Imagine


Parcours de lecture
ELLE APPUYAIT SES RÊVES À LA VITRE - sr

En clair

ELLE APPUYAIT SES RÊVES À LA VITRE - txt0r

(à cliquer)

Quelques mots
(de trop ?)
ELLE APPUYAIT SES RÊVES À LA VITRE - txt1r

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les TAGS
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Chez Publie.net : Louise Imagine


D’autres passages de Louise Imagine
PASSAGES ALEATOIRES – LA VILLE


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On peut retrouver les photographies de Louise Imagine, accompagnées des textes de Sabine Huynh
Dans leur évocation commune de l’enfance

« TU AMARRES LES VAGUES »


Elle appuyait ses rêves
à la vitre du monde
et l’une et l’autre
s’écoutaient
et se disaient

On ne saurait dire depuis combien de temps l’enfant conversait avec ce petit pays enfermé derrière la vitre. Mais ce qui était certain c’est que ce carreau faisait tout son possible pour diminuer l’opacité et l’épaisseur de son corps. Au point que le monde captif devait percevoir toute la gentillesse que la petite avaient mise dans la paume de ses mains.

SIGNES CLINIQUES – CHRISTINE JEANNEY – 05

 « Une question de dépossession…DERRIERE LA VITRE LA VILLE SE DEROULE DEHORS SANS MOI LA VILLE NE RESONNE PAS ET NE RACONTE RIEN-let

                                                                               …La ville plate, sa profondeur défaite, un décor peint sur une bâche tendue entre deux rouleaux, quel machiniste a oublié de l’actionner. »

Extrait du roman « Signes cliniques »
de Christine Jeanney

Parcours de lecture

DERRIERE LA VITRE LA VILLE SE DEROULE DEHORS SANS MOI LA VILLE NE RESONNE PAS ET NE RACONTE RIEN-s

En clair

*

DERRIERE LA VITRE LA VILLE SE DEROULE DEHORS SANS MOI LA VILLE NE RESONNE PAS ET NE RACONTE RIEN-txt


Christine Jeanney (chez publie.net)

son espace d’écriture sur la toile : Tentatives


Une question de dépossession.
Derrière la vitre, la ville se déroule dehors, sans moi. La ville ne résonne pas et ne raconte rien.
La ville plate, sa profondeur défaite, un décor peint sur une bâche tendue entre deux rouleaux, quel machiniste a oublié de l’actionner.

LIVRE DES PEURS PRIMAIRES – GUILLAUME VISSAC – 02

JE FUIS PAR LA GAUCHE A TRAVERS LA VITRE QUI M AIME ME SUIVE

Extrait du « livre des peurs primaires»
de Guillaume Vissac

Solution

JE FUIS PAR LA GAUCHE A TRAVERS LA VITRE QUI M AIME ME SUIVE-s

En clair

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Chez publie.net  :   Guillaume Vissac

Son site « Fuir est une pusion »

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ils donnent certains mots de la grille.

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DOUZE JEUNES POÈTES – MICHEL VOLKOVITCH – 01

   LA FILLE MELANCOLIQUE LE VISAGE COLLE A LA VITRE SE DEMANDAIT POURQUOI LA NUIT TOMBE-D

Plus facile

LA FILLE MELANCOLIQUE LE VISAGE COLLE A LA VITRE SE DEMANDAIT POURQUOI LA NUIT TOMBE

Extrait du recueil de poésie « Douze jeunes poètes »
de Michel Volkovitch

———

solution

LA FILLE MELANCOLIQUE LE VISAGE COLLE A LA VITRE SE DEMANDAIT POURQUOI LA NUIT TOMBE-s

en clair

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Michel Volkovitch sur publie.net

Ses oeuvres sur la librairie en ligne de publie.net