LE VILLAGE PATHÉTIQUE – ANDRÉ DHÔTEL – 13


[Elle va tous leur faire tourner la tête
et, elle non plus, ne sait pas pourquoi
elle fait cela]

     IL FAUT AVOUER TOUT DE SUITE - letc1-exp2
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Si tu est novice,
plus facile avec les liens entre les mots
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IL FAUT AVOUER TOUT DE SUITE - letc1-sr

Extrait du roman « Le Village pathétique »
de André Dhotel

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Parcours de lecture

IL FAUT AVOUER TOUT DE SUITE - sr

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Mais les épaules et les seins de la jeune femme vivaient avec ardeur sous la robe frêle, et même les garçons qui se trouvaient à l’autre bout de la salle la sentaient aussi bien que s’ils l’avaient serrée contre eux.
Quand elle se tut, personne ne bougea. On souhaitait vivement qu’elle parlât encore. Bien sûr elle n’avait rien de commun avec ce village. Par quelle chance y était-elle tombée ? En tout cas, ce qu’elle disait était une vérité criante.
– Il faut avouer tout de suite, reprenait-elle, que nous voulons faire quelque chose et que nous ne savons pas quoi.
– C’est ce que j’ai toujours dit murmura Jérome.
Alors ? Est-ce qu’on allait s’empêtrer indéfiniment dans cette sottise ? Odile réfléchit encore. Elle se leva :
– En fin de compte, il faudrait que nous nous réunissions souvent sous n’importe quel prétexte. On trouvera peut-être à la longue une affaire extraordinaire à entreprendre, je ne sais pas quoi !
A ce moment une rumeur circula, On était de cet avis., mais qu’est-ce qu’on allait faire tout de suite ? Odile saisit ce dernier mot :
– Tout de suite ? Je propose que nous allions par exemple, dénicher et réparer le vieil autobus de Grégoire Leuilly et que nous partions tous les soirs nous baigner à la rivière.

VOYAGE AU BOUT DE LA NUIT – LOUIS-FERDINAND CÉLINE – 3 –


MOI D ABORD - letc1
                                                                    … avec ses bourbiers qui n’en finissent pas, ses maisons où les gens n’y sont jamais et ses chemins qui ne vont nulle part… »

Lecture plus lente

MOI D ABORD - let1

Extrait du roman « Voyage au bout de la nuit  »
de Louis-Ferdinand Céline

Parcours de lecture

MOI D ABORD - s

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Moi d’abord la campagne, faut que je le dise tout de suite, j’ai jamais pu la sentir, je l’ai toujours trouvée triste, avec ses bourbiers qui n’en finissent pas, ses maisons où les gens n’y sont jamais et ses chemins qui ne vont nulle part. Mais quand on y ajoute la guerre en plus, c’est à pas y tenir.

LE DOMINICAIN BLANC – GUSTAV MEYRINK – 04

IL FAUT QUE TA MAIN APPRENNE CE QUE TON ESPRIT REPRENDRA PAR LA SUITE

—-

Extrait du roman « Le dominicain blanc »
de Gustav Meyrink

Parcours de lecture

IL FAUT QUE TA MAIN APPRENNE CE QUE TON ESPRIT REPRENDRA PAR LA SUITE-s

En clair (sur Babelio)

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Il faut que ta main apprenne ce que ton esprit reprendra par la suite.