Tu amarres les vagues -Sabine Huynh (Mots) Louise Imagine (Photographies) – 1

« Tu amarres les vagues est un livre qui se lit doucement.
Si seulement on accepte son invitation et si on y pense un moment, la douceur est une des choses les plus précieuses au monde.
Il y a une façon de parler de l’enfance, et du lien à son enfant qui est

Ce regard sur l’amour est en chacun de nous, dans l’enfant que nous avons été, dans

Sabine Huynh a inventé des mots pour répondre aux éclats colorés de bonheur des photos de Louise Imagine : il y a cette pure merveille d’écla-rire.  »

Ici, le poème qui donne son titre à l’oeuvre



RIEN DE CE QUE TU TOUCHES NE SERA - letcr1-exp1

 Un des premiers poème de Sabine Huynh du recueil
« Tu amarres les vagues »
avec en fond la photographie correspondante
de Louise Imagine


Parcours de lecture
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En clair

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Un extrait plus long

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Lecture du poème


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D’ici au bout du monde
tes empreintes fleurissent et le raniment

Rien de ce que tu touches ne sera jamais perdu
dans l’érosion perpétuelle
ta naissance a réparé le cosmos.

L’amour que tu inspires transcende l’amour
Tu amarres
les vagues

Dorénavant partir sera toujours
revenir vers toi

CHARLY – JEAN TEULÉ – 07

« – Je sais que dorénavant dans le monde tout s’enfuit, tout s’étonne, et gémit à mon nom.

 OBSERVANT LE NOURRISON DANS LE BERCEAU IL REGRETTE MEME SA PROPRE NAISSANCE-let – Ah, si l’on m’avait dit en cette enfance molle et rose ceci ! Maintenant, des tics à l’œil et à la lèvre, dans son manteau bleu ciel des rois, il se dirige vers sa fille « 

Extrait du roman « Charly 9 »
de Jean Teulé

Parcours de lecture
OBSERVANT LE NOURRISON DANS LE BERCEAU IL REGRETTE MEME SA PROPRE NAISSANCE-s

L’extrait sur babelio

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OBSERVANT LE NOURRISON DANS LE BERCEAU IL REGRETTE MEME SA PROPRE NAISSANCE-txt

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– Je sais que dorénavant dans le monde tout s’enfuit, tout s’étonne, et gémit à mon nom.
Observant le nourrisson dans le berceau, il regrette même sa propre naissance :
– Ah, si l’on m’avait dit en cette enfance molle et rose ceci ! Maintenant, des tics à l’œil et à la lèvre, dans son manteau bleu ciel des rois, il se dirige vers sa fille :