CAMPEMENT – ANDRÉ DHOTEL – 02

« La plaine, faiblement remuée par le mouvement des collines, s’éteignit dans les fenêtres.…  

GABRIEL PENSAIT QUE L INFINITE DES HORIZONS GARDAIT LES COEURS PRISONNIERS-let                                                  … – Pense aux pays nouveaux d’ailleurs !
Plus loin que la plaine, il y a des villes extraordinaires. »

Extrait du roman « Campement »
de André Dhotel

Parcours de lecture

GABRIEL PENSAIT QUE L INFINITE DES HORIZONS GARDAIT LES COEURS PRISONNIERS-s

En clair

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Les plaines, faiblement remuée par le mouvement des collines, s’éteignit dans les fenêtres.
Gabriel pensait que l’infinité des horizons gardait les cœurs prisonniers.
Pense aux pays nouveaux d’ailleurs. Plus loin que la plaine, il y a des villes extraordinaires.