OBLIQUE – CHRISTINE JEANNEY -3-

[La musique comme espace de vie]

LE DOS BOSSU FACE AU PIANO - letcr1-exp

(Novice, ceci est pour toi
à cliquer)

LE DOS BOSSU FACE AU PIANO - letcr1-sr

Extrait de Oblique

de Christine Jeanney

Parcours de lecture

LE DOS BOSSU FACE AU PIANO - sr

En clair

LE DOS BOSSU FACE AU PIANO - txt0r

Un extrait plus long

LE DOS BOSSU FACE AU PIANO - txt1r

Entretien Christine Jeanney et Guillaume Vissac

« C’est moi augmentée » – Oblique – 1-

« Faire face à l’impossibilité » – Oblique -2-

Annonces vidéo

 

Les deux autres annonces (2) (3)

Christine Jeanney
aux éditions publie.net
aux éditions qazaq

son espace d’écriture sur la toile : Tentatives


Le dos bossu face au piano, son visage à
hauteur du clavier, ses yeux guettent
les sons, le sourire lorsqu’il dit ce qu’il
sent dans cette phrase de Mozart, ce
geste, ce souffle, ces
mesures, diminuendo, les traits serrés
et les yeux implorants, l’apparence du
profond désespoir dans la
concentration ultime, ce qui bouge
dans la lumière, l’écran est noir puis
fulgurant de ces sourires, l’orage, la
nuit.

ET … BASTA ! – LEO FERRE – 1

 

Il y deux ans, un HORS-SÉRIE du « Monde » était consacré à Léo Ferré
(Le système décimal influence notre souvenir des disparus)

MA MAIN SUR LE CLAVIER DE MON - letcr1-exp

Cette citation de la chanson  « ET … BASTA » s’y trouve.
A la suite de laquelle, Yann Plougastel (en charge du « PORTRAIT » de l’artiste) concluait
« N’oubliez jamais cela, Ferré est le porte-parole d’un monde perdu, où n’importe quel quidam n’a pas ses entrées. »

 

Parcours de lecture si tu veux lire cela un peu plus vite
(pourtant … découvrir les mots de Léo peu à peu, en les sirotant …)
MA MAIN SUR LE CLAVIER DE MON - sr

En clair
MA MAIN SUR LE CLAVIER DE MON - txt0r

L’extrait de la chanson
un peu plus long
MA MAIN SUR LE CLAVIER DE MON - txt1r1

Avec un peu de chance
si la vidéo n’a pas disparu dans
le plus rien
https://www.youtube.com/watch?v=7KvfhOuaLkY


Je ne vais tout de même pas te raconter comment et pourquoi j’écris des chanson, non ? C’est comme ça ! Ma main sur le clavier de mon piano est reliée à un fil et ça marche, je suis dicté.
J’ai un magnétophone dans le désespoir qui me ronge et qui tourne et qui n’arrête pas. Alors je copie cette voix qui m’arrive de là-bas. Ça fait comme un déclic et ça se déclenche.