LE GRAND MEAULNES – ALAIN FOURNIER – 15

« Un coup brusque au carreau nous fit lever la tête. Dressé
contre la porte,…

 NOUS APERCUMES LE GRAND MEAULNES SECOUANT AVANT D ENTRER LE GIVRE DE SA BLOUSE LA TETE HAUTE ET COMME EBLOUI-let

Extrait du roman « Le grand Meaulnes »
de Alain Fournier

Parcours de lecture
NOUS APERCUMES LE GRAND MEAULNES SECOUANT AVANT D ENTRER LE GIVRE DE SA BLOUSE LA TETE HAUTE ET COMME EBLOUI-s

En clair sur babelio
(y lire notamment le commentaire qui touche juste de GODON)

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NOUS APERCUMES LE GRAND MEAULNES SECOUANT AVANT D ENTRER LE GIVRE DE SA BLOUSE LA TETE HAUTE ET COMME EBLOUI-txt

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Puis la pesante classe d’hiver commença…
Un coup brusque au carreau nous fit lever la tête. Dressé contre la porte, nous aperçûmes le grand Meaulnes secouant,
avant d’entrer, le givre de sa blouse, la tête haute et comme ébloui !
Les deux élèves, du banc le plus rapproché de la porte se précipitèrent pour l’ouvrir : il y eut à l’entrée comme un vague
conciliabule, que nous n’entendîmes pas, et le fugitif se décida enfin à pénétrer dans l’école.
Cette bouffée d’air frais venue de la cour déserte, les brindilles de paille qu’on voyait accrochées aux habits du grand
Meaulnes, et surtout son air de voyageur fatigué, affamé, mais émerveillé, tout cela fit passer en nous un étrange sentiment de plaisir et de curiosité.