Citation extraite du roman « Les bienveillantes » de Jonathan Littell
(solution à venir)
Solution de la grille précédente
Ecrit sur les murs de Paris de Anne Onyme
JE PENSE AU JOUR OU LES CHEVAUX ONT APPRIS A PLEURER
Cette phrase, dont on ignore l’auteur, est écrite sur un grand nombre de murs de la capitale. Christophe Grossi l’évoque dans un texte intitulé « dans l’ombre le monde (13/s30)« . Texte où il donne une photo d’un exemplaire qui se trouve (peut-être a-t-il disparu depuis ?) rue Jean-Pierre Timbaud, Paris 11e.
Beaucoup ont cité cette phrase étrange et ont formulé des hypothèses quant à sa signification.
(Je me risque à donner la mienne.) Peut-être y-a-t-il une référence aux fameux Houyhnhnms de Jonathan Swift.
Ces chevaux beaux, nobles et intelligents qui ont (?) supplanté l’homme décadent sur la Terre.
La sensibilité disparaissant des humains pour apparaître chez les chevaux serait alors le premier pas vers cette déchéance de l’un et l’apparition d’une conscience morale chez l’autre…


