[Une écriture qui s’inscrit dans le temps de sa pensée
qui ne se renie pas
laisse les traces de ses passages, ses retours,
une écriture qui se dit. ]
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Mercredi 22 mai 2013
en ses forêts de poèmes
où les ronces ne sont pas combattus
mais apprivoisés
Jean-Yves Fick , donne
« Du peu«
(à cliquer pour obtenir le parcours de lecture)
j’aime cette respiration des yeux que soufflent ses mots
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[retard pour répondre désolé]
j’aime aussi l’impossibilité d’y greffer du temps
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