[En fin du préambule à cet article, qui n’a rien perdu de son actualité, René Daumal, donne un avertissement propre à fâcher davantage celui qui ne le comprendra pas, et à se gagner la sympathie de ceux qui ne se sentiront pas concernés.
Aucun doute, nous sommes bien là au cœur du GRAND JEU]
« Si ma pensée sous son apparence abstraite…
—
Sans l’image
(à cliquer)
—
Extrait du recueil d’essais
« L’Evidence absurde 1926-1934 – Essais et notes 1 »
de René Daumal
dans
« DE L’ATTITUDE CRITIQUE
DEVANT LA POÉSIE »
(Dernière phrase d’une préface
saignante.
La franchise sauvage et fine
de ces couteaux là
manquent terriblement à notre siècle.)
—–
parcours de lecture
—
Je sens là comme une pointe acerbe, voire moqueuse, pour les tenants de l’ordre. En effet, on n’aiguise plus l’esprit de cette façon coutelière par les temps qui courrent…
J’aimeJ’aime
En retard pour réponde à ce commentaire que j’aperçois à l’instant
(suis un peu en désordre dans le virtuel et dans le réel
comme pour une sorte de cohérence avec le commentaire que tu fais)
Oui
sans s’en rendre compte
l’homme
et il le reproduit sur ses petits
est de plus en plus absorbé par
UN ordre
– alors qu’il en existe des (milliards de milliard)²²²²… –
celui de la mesure quantitative.
Pecato !
Donc
relire un peu Daumal
parfois excessif
au point de mourir à 33 ans
d’un projet personnel … renié un peu tard
celui de brûler en une nuit.
J’aimeJ’aime